Parcours artistique
J’écris activement depuis 2002; j’ai touché à plusieurs types de théâtre: comédie, drame, théâtre jeune public, théâtre d’été. J’ai aussi dirigé beaucoup d’ateliers de discussions sur le théâtre. J’ai écrit plusieurs pièces qui ont été jouées, plusieurs autres montées par mes étudiants et plusieurs autres en chantier. Au printemps 2009, j’ai reçu une bourse du Conseil des arts et des lettres du Québec (Fonds des Laurentides pour les arts et les lettres) pour l’écriture d’un livre pour enfants tiré de l’une de mes pièces : La campagne de Napoléon. En 2012, j'ai reçu une bourse de développement du Conseil des arts et des lettres du Québec, pour l'écriture de la pièce jeune public La forêt des morts. En 2013, j'ai reçu une bourse du Conseil des arts et des lettres du Québec (Fonds des Laurentides pour les arts et les lettres) pour le laboratoire de création pour la mise en scène de la pièce La forêt des morts.
En 2013, une aide du Conseil des Arts du Canada me permet d’écrire Les courants souterrains. Lors des Grands prix de la culture des Laurentides 2013, je reçois deux prix, Le Prix Jeune relève et Le Prix du CALQ : Créateur de l’année pour la région des Laurentides. C’est au cours de cette même année que j'ai fait la mise en scène de la pièce Le Chant de Meu de l'auteur Robin Aubert. Cette pièce a été présenté en novembre 2013 et novembre 2014 à Kiamika et au Théâtre Prospero puis en 2015 à Premier Acte à Québec. En juillet 2015, j'ai débuté une résidence de création à Montréal grâce au Conseil des Arts et Lettres du Québec. Je suis maintenant membre du CEAD Centre des auteurs dramatiques grâce à la pièce Les courants souterrains qui sera présentée à l’érablière Grenier de kiamika en février 2016 et au théâtre Prospero à Montréal en mars 2016.
Le retour en région n’est pas chose facile: seul à croire en soi et seul à être convaincu du sérieux de ma discipline… oui, le théâtre c’est un vrai travail ! À Montréal, j’avais l’impression que cet art était ce qu’il y avait de plus important. En retournant chez moi, je me suis rendu compte à quel point un diplôme de l’École nationale ne signifiait rien pour les gens de ma région. C’est ce fait qui m’a poussé à vouloir écrire du théâtre de création très personnel, mais aussi accessible. Je me suis donc accroché à mon écriture pour traverser cette étape de ma vie. De plus, l’année de mon retour, j’ai vieilli très vite; j’ai eu un enfant, ce qui est une chose marquante, mais, il s’est avéré que mon garçon était lourdement handicapé de naissance. Disons que c’est également une expérience qui change la façon dont on approche son clavier.
Au cours de mon séjour dans le monde théâtral montréalais, j'ai remarqué un fossé énorme entre la vision de certains artistes et le monde rural. Je crois qu'il est important que ce monde fasse entendre sa voix. Pour cette raison, mes œuvres traitent de l’exode des régions, de la détresse chez les agriculteurs, du monde forestier, de la condition masculine, de la dualité rurale- urbaine, du deuil, du suicide, du monde rural, le tout avec un brin d’humour.
En 2013, une aide du Conseil des Arts du Canada me permet d’écrire Les courants souterrains. Lors des Grands prix de la culture des Laurentides 2013, je reçois deux prix, Le Prix Jeune relève et Le Prix du CALQ : Créateur de l’année pour la région des Laurentides. C’est au cours de cette même année que j'ai fait la mise en scène de la pièce Le Chant de Meu de l'auteur Robin Aubert. Cette pièce a été présenté en novembre 2013 et novembre 2014 à Kiamika et au Théâtre Prospero puis en 2015 à Premier Acte à Québec. En juillet 2015, j'ai débuté une résidence de création à Montréal grâce au Conseil des Arts et Lettres du Québec. Je suis maintenant membre du CEAD Centre des auteurs dramatiques grâce à la pièce Les courants souterrains qui sera présentée à l’érablière Grenier de kiamika en février 2016 et au théâtre Prospero à Montréal en mars 2016.
Le retour en région n’est pas chose facile: seul à croire en soi et seul à être convaincu du sérieux de ma discipline… oui, le théâtre c’est un vrai travail ! À Montréal, j’avais l’impression que cet art était ce qu’il y avait de plus important. En retournant chez moi, je me suis rendu compte à quel point un diplôme de l’École nationale ne signifiait rien pour les gens de ma région. C’est ce fait qui m’a poussé à vouloir écrire du théâtre de création très personnel, mais aussi accessible. Je me suis donc accroché à mon écriture pour traverser cette étape de ma vie. De plus, l’année de mon retour, j’ai vieilli très vite; j’ai eu un enfant, ce qui est une chose marquante, mais, il s’est avéré que mon garçon était lourdement handicapé de naissance. Disons que c’est également une expérience qui change la façon dont on approche son clavier.
Au cours de mon séjour dans le monde théâtral montréalais, j'ai remarqué un fossé énorme entre la vision de certains artistes et le monde rural. Je crois qu'il est important que ce monde fasse entendre sa voix. Pour cette raison, mes œuvres traitent de l’exode des régions, de la détresse chez les agriculteurs, du monde forestier, de la condition masculine, de la dualité rurale- urbaine, du deuil, du suicide, du monde rural, le tout avec un brin d’humour.